Je vole... l'Atlantique saura attendre...
Avant de partir, cet après midi, j'ai consulté le plan de la ville, et me suis décidé d'un itinéraire...
Bien entendu, je me suis perdu, j'avais pourtant bien repéré qu'il me faudraiit passer par la rue de la montagne...
Que nenni, le pauvre pèlerin que je suis est perdu sans ses coquilles de Saint Jacques.
Il me restait à suivre la pente descendante vers les quais de Loire.
Et je les ai bien trouvés, errance terminée
La nevette qui mène de l'autre coté du fleuve est bien là...
Et, au terme de ces cinq kilomètres de marche (assez) rapide, la récompense de la boulangerie (Casimir, la meilleure de nantes, si, si...)
pour un réconfort... au bout de quelques ... minutes d'attente. Telle est notre quotidien de ces jours.
Et comme un petit clin d'oeil au voyage, que nous ne pouvons oublier, voler vers l'Atlantique...
Bien sûr, il s'agit de Fisterra, au bout du Chemin de Compostelle... Allez, volons...